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AQUARELLE SUR PAPIER

 

Je n’avais jamais pensé qu’un jour je peindrais des fleurs. J’avais auparavant fait un travail sur le végétal, sur les arbres de vie, sur l’arborescence, sur la grenade. Puis, en 2001, quand mon père est tombé gravement malade, j’ai commencé à faire des fleurs parce que je n’avais plus l’esprit libre et n’arrivais donc plus à me concentrer sur d’autres sujets. C’est anecdotique mais c’est la vraie raison. J’ai acheté des fleurs, notamment des pivoines, et je les ai dessinées sur le motif. Et ce du début à la fin, c’est-à-dire à partir du moment où elles s’ouvraient jusqu’à ce qu’elles soient complètement fanées, comme un cycle de vie.

 

Extrait de l’entretien réalisé par Henri-François Debailleux et publié dans la monographie de Najia Mehadji. Éditions Art Point, novembre 2012 

 

WATERCOLOR ON PAPER

 

I never thought that one day I’d paint flowers. Before that I’d worked on plant themes, on trees of life, on arborescence, on pomegranates. And then, in 2001, when my father became seriously ill, I began to do flowers because my mind was preoccupied and I couldn’t manage to concentrate on other subjects. It may seem anecdotal, but that’s the real reason. I bought flowers, peonies in particular, and I drew them from life. From beginning to end, that is to say from the moment the buds opened until they were totally wilted, like a life cycle.

 

Extract from the interview with Henri-François Debailleux, published in the monograph of Najia Mehadji. Editions Art Point. November 2012

 

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